Plusieurs courriels ce matin pour proposer au vote des prolongations de dettes Amarenco avec une pauvre augmentation de taux de 1 à 2% en guise de pénalité de retard. Je trouve cela totalement insuffisant, notamment pour le dossier AFR Holdco Symphonie (3,5% sur 18 mois) : - le taux était établi pour une durée courte, j'estime que si la durée est augmentée de 33%, le taux doit être revu sur toute la durée de l'emprunt, pas seulement sur la période de prorogation - le taux correspondait au niveau du marché pour un emprunteur premium sur courte durée en 2021 mais ce n'est plus du tout le cas aujourd'hui A mon avis, la pénalité de retard ne devrait pas être inférieure à 5% pour constituer une juste rétribution du préjudice. De manière générale, je trouve que sur Lendopolis a une politique très favorable aux emprunteurs sur les retards, les pénalités sont généralement très faibles.
Yes, même constat et sentiment vis à vis de cette situation.
<p style="text-align: left;">J'ai voté non en ligne à toutes les questions soumises au vote mais aucun espace pour exprimer son avis : (</p>
Même réaction…le prêt change de nature, ce n’est plus du court terme. Il devrait sur la période de prolongation être rémunéré autour de 6%.
C’est une des caractéristiques de Lendopolis de mal rémunérer. Je bondis quand je vois des prêts a 60 mois rémunérés a 5% ! Il y a 18 mois ok, plus maintenant…
J'ai bien entendu voté non à tout moi aussi. Je crois qu'ils vont avoir un peu de mal à réunir une majorité de oui...
Hello - surpris de votre surprise et même des revendications (5% de pénalité! etc.)
Passer de 36 à 42 mois max (au vu des explications, il est probable que le financement bancaire arrive avant la nouvelle échéance), c'est pas vraiment passer du court terme vers du long terme!
Le financement ENR, c'est pas le même risque que le financement immo : si vous voulez du rendement, faut pas viser de l'ENR et rester sur l'immo : on comparera plus tard les rendements réels après défaut.
Ces financements de bridge passent en crowdlending pour bénéficier de la souplesse de ce modèle. Et, même s'ils vous paraissent bas, les taux sont en fait très élevés pour les emprunteurs par rapport à ceux associés au financement bancaire qui va prendre le relais à terme.
Pour ma part, je n'ai aucun doute que 95%+ des investisseurs vont voter oui.
Bonjour,
J'ai voté aussi contre les résolutions de Lendopolis. Le taux proposé est insuffisant au regard de la nouvelle inflation.
Hello – surpris de votre surprise et même des revendications (5% de pénalité! etc.) Passer de 36 à 42 mois max (au vu des explications, il est probable que le financement bancaire arrive avant la nouvelle échéance), c’est pas vraiment passer du court terme vers du long terme! Le financement ENR, c’est pas le même risque que le financement immo : si vous voulez du rendement, faut pas viser de l’ENR et rester sur l’immo : on comparera plus tard les rendements réels après défaut. Ces financements de bridge passent en crowdlending pour bénéficier de la souplesse de ce modèle. Et, même s’ils vous paraissent bas, les taux sont en fait très élevés pour les emprunteurs par rapport à ceux associés au financement bancaire qui va prendre le relais à terme. Pour ma part, je n’ai aucun doute que 95%+ des investisseurs vont voter oui.
Il y a plusieurs dossiers et l'impact n'est effectivement pas le même pour tous. Je parlais d'un dossier qui passait de 18 à 24 mois (soit 33% d'aumentation de durée). J'en ai un autre qui était déjà mieux rémunéré et dont la prorogation est proportionnellement plus limitée (sans doute celui dont vous parlez). Je vais m'abstenir pour celui là.
La revendication d'un pénalité de retard de 5 % sur la période de prorogation revient seulement à porter la rémunération du prêt sur sa durée globale de 24 mois à 4 %. Je ne crois pas que ce soit trop demander !
Hello – surpris de votre surprise et même des revendications (5% de pénalité! etc.) Passer de 36 à 42 mois max (au vu des explications, il est probable que le financement bancaire arrive avant la nouvelle échéance), c’est pas vraiment passer du court terme vers du long terme! Le financement ENR, c’est pas le même risque que le financement immo : si vous voulez du rendement, faut pas viser de l’ENR et rester sur l’immo : on comparera plus tard les rendements réels après défaut. Ces financements de bridge passent en crowdlending pour bénéficier de la souplesse de ce modèle. Et, même s’ils vous paraissent bas, les taux sont en fait très élevés pour les emprunteurs par rapport à ceux associés au financement bancaire qui va prendre le relais à terme. Pour ma part, je n’ai aucun doute que 95%+ des investisseurs vont voter oui.
Par ailleurs je vous rejoins sur le fait que l'ENR c'est pas de l'immobilier. Il est parfaitement compréhensible qu'un programme immobilier ait 6 mois de retard, sur un dossier ENR je ne trouve pas ça justifié. Il faut annoncer tout de suite la couleur en faisant un emprunt sur une durée plus longue, quitte à le rembourser par anticipation. evidemment le taux sera pas le même sur 36 ou sur 18 mois.
Correction :
enr wrote:Hello – surpris de votre surprise et même des revendications (5% de pénalité! etc.) Passer de 36 à 42 mois max (au vu des explications, il est probable que le financement bancaire arrive avant la nouvelle échéance), c’est pas vraiment passer du court terme vers du long terme! Le financement ENR, c’est pas le même risque que le financement immo : si vous voulez du rendement, faut pas viser de l’ENR et rester sur l’immo : on comparera plus tard les rendements réels après défaut. Ces financements de bridge passent en crowdlending pour bénéficier de la souplesse de ce modèle. Et, même s’ils vous paraissent bas, les taux sont en fait très élevés pour les emprunteurs par rapport à ceux associés au financement bancaire qui va prendre le relais à terme. Pour ma part, je n’ai aucun doute que 95%+ des investisseurs vont voter oui.
Il y a plusieurs dossiers et l’impact n’est effectivement pas le même pour tous. Je parlais d’un dossier qui passait de 18 à 24 mois (soit 33% d’aumentation de durée). J’en ai un autre qui était déjà mieux rémunéré et dont la prorogation est proportionnellement plus limitée (sans doute celui dont vous parlez). Je vais m’abstenir pour celui là. La revendication d’un pénalité de retard de 5 % sur la période de prorogation revient seulement à porter la rémunération du prêt sur sa durée globale de 24 mois à 4 %. Je ne crois pas que ce soit trop demander !
Correction : le taux sur la période globale serait de 4,75 % (ça reste très raisonnable à mons sens
Correction : le taux sur la période globale serait de 4,75 % (ça reste très raisonnable à mons sens
pas certain de comprendre ce qu'est une "pénalité de 5% sur la période de prorogation" ni de saisir comment on arrive à 4,75%.
Si je comprends le raisonnement, pour une extension de 6 mois max (ou 33% en relatif), la proposition est de plus que doubler le gain? (pour 1000 EUR prêtés à 3,5% composés sur 18 mois, on a un gain de 52, 96 EUR - pour 1000 EUR prêtés à 3,5% composés sur 24 mois plus pénalités proposées, on aurait un gain de 71,23 +50 EUR = 121, 23 EUR)
C'est un peu beaucoup, non? (à vue de nez, un peu plus de 10% annuels)
Et si je suis votre raisonnement, combien proposez vous de baisser le taux contractuel lorsqu'un emprunteur réduit la durée du prêt en remboursant par anticipation?
La proposition de Lendopolis est de rémunérer à un taux supérieur de 1% sur la période d'extension : ça revient à vous obliger de sousscrire un prêt à 4,5% pour une durée de 6 mois max.
A part le fait que vous n'avez pas le choix, je trouve pas ça scandaleux.
Il y a d'autres combats qui me paraissent plus importants comme par exemple avancer la date de démarrage des calculs d'intérêts (il peut se passer plusieurs semaines voire mois entre le moment ou on souscrit et le bouclage du contrat)
En général, les intérêts ne sont pas versés in fine sur Lendopolis mais avec des échéances régulières. Donc passer de 3,5 à 4,75 %, ce n'est pas doubler le revenu. Par ailleurs les taux des opérations ENR sont actuellement plus élevés que 4,75 % même pour du premium (et je ne parle même pas de l'inflation).
Des pénalités de 5% sont appliquées par La Première Brique par exemple. Cela motive les emprunteurs pour faire tout leur possible pour régulariser au plus vite.
Quant aux remboursements anticipés, c'est également un préjudice pour le prêteur et c'est pour cela qu'en général il y a une pénalité à la clef. Ce que veut un prêteur, c'est le respect du contrat initial pour avoir de la visibilité sur sa trésorerie. toute entorse au délai contractuel entraîne un préjudice pécuniaire et moral.
Vous m'attaquez comme si je disais des insanités mais la vérité c'est que je suis généralement assez raisonnable dans mes attentes, je demande juste au plateforme de mériter leur commission et de négocier sérieusement pour trouver un juste compromis entre les parties. C'est un peu trop facile d'accepter toutes les conditions des gros emprunteurs (je me demande combien Amarenco pèse dans le bilan de Lendopolis).
Pour ce qui est de la date de départ de calcul des intérêts, on ne parle pas non plus de sommes faramineuses : je doute que ce "combat" là soit le plus digne d'intérêt.
A titre personnel, j'adopte plusieurs stratégies d'optimisation :
- je privilégie les plateformes qui ne traînent pas trop
- je ne dédaigne pas les prêts longue durée, surtout lorsqu'il y a des frais d'entrée à amortir
- lorsque c'est possible, je ne verse les fonds qu'au dernier moment (par exemple avec Wiseed)
- on peut aussi acheter sur les marchés secondaires (Enerfip et plateformes étrangères) mais c'est pas trop mon truc
il n'y a vraiment rien de personnel dans mon message : j'essaie de vous démontrer, calcul à l'appui, que votre demande me paraît démesurée (intérêts composés ou pas d'ailleurs).
en résumé, nous ne sommes pas du même avis et nous verrons ce que pense la majorité des obligataires : pour ma part, je trouve qu'un prêt de 6 mois à 4,5% est dans le marché au vu de la solidité de l'emprunteur
Bonsoir à tous,
Compte tenu que je suis concerné, je me permets de rebondir sur ces différents messages.
Tout d'abord, j'aimerai rappeler que les mails reçus correspondent à des convocations à des Assemblée Générale des obligataires. Tant que les votes n'ont pas été exprimés par la majorité des investisseurs, rien n'est imposé à la masse des obligataires. A la différence de certains projets pour lesquels vous vous retrouvez devant les faits sans pouvoir les remettre en cause, vous avez là pleinement le droit de refuser les propositions. Dans ces conditions, il n'y a à ce jour aucun retard et aucun préjudice. Ce vocabulaire ne pourra être utilisé que si la majorité vote non et qu'Amarenco ne respecte pas ses engagements avec un remboursement à l'échéance.
Concernant la prorogation, elle est proposé pour deux fois 3 mois afin d'éviter un traitement juridique supplémentaire si la première période de 3 mois n'était pas suffisante. Je tiens à préciser que le taux est différent entre chaque période.
Comme précisé dans le mail, aucun élément ne nous laisser craindre une demande de report qui cacherait un futur défaut de paiement. Les éléments transmis sont au contraire des plus rassurants. La levée de fonds (300 m€) étant des plus avancées, il faut presque prendre la prorogation comme un nouveau produit avec un risque revu à la baisse. Au final, 3 mois rémunérés à 4,5% ou 6,5%, selon la collecte initiale sur laquelle vous étiez positionnée, ne me choque pas avec un acteur de ce niveau.
Lendopolis est régulièrement critiqué pour la rémunération des placements proposés. Nous assumons cela mais il nous semble que ceci doit être mis en parallèle de la qualité des émetteurs. Un taux seul n'est rien et doit être confronté au risque. Il y a certes des produits à 6-7% sur 18-24 mois actuellement mais la comparaison avec un émetteur comme Amarenco n'est pas pertinente.
Je me tiens à votre disposition pour vous apporter toute précision.
Je tiens à apporter une précision sur la rémunération des périodes complémentaires puisque notre mail ne semble pas avoir été parfaitement compris. Si les AG approuvent les propositions d'avenant, les deux produits verraient leur maturité revue à la hausse de 2 périodes de 3 mois, soit 6 au maximum. Les taux proposés pour chaque période correspondrait au taux de la période précédente majorée de 1%, soit :
- 4,5% puis 5,5% prorata temporis pour chaque période de 3 mois pour le produit de 18 mois
- 6,5% puis 7,5% prorata temporis pour chaque période de 3 mois pour le produit de 36 mois
Ainsi, Amarenco n'est pas tenté de prolonger les produits au-delà de la première période de 3 mois.
Merci pour votre intervention, que j'espérais (avec un beau titre de sujet comme ça, vous pouviez difficilement louper cette conversation...)
J'ai parfaitement compris la proposition. Il me semble que vous n'avez pas forcément compris de votre côté le reproche, qui porte sur la rémunération des prorogations et non sur la rémunération des nouvelles obligations (sur ce point, j'estime que vous faites ce que vous voulez et qu'il en va de même pour les prêteurs, le nécessaire équilibre de l'offre et de la demande s'imposera à tous au final).
Il est trompeur de parler de libre choix quand celui-ci revient à la masse des obligataires. Un obligataire unique n'a pas de réel choix. Si la proposition est acceptée, il n'y aura effectivement pas de retard puisque celui-ci est régularisé par avenant, cela reste bien entendu purement rhétorique pour ceux qui auront voté non ! Quant au préjudice, il n'existe pas pour ceux qui acceptent la proposition mais je ne vois pas pourquoi ceux qui se la voient imposée ne pourraient pas s'en prévaloir.
J'ai voté oui de partout
Le report n'est pas énorme et prendre 1 point voir 2 points de plus sur la durée "bonus", c'est ok pour moi
Je comprends néanmoins l'avis de Barsa, Pelko, Serge et surement pas mal d'autres. Amarenco aurai très bien pu majorer le taux sur la durée totale du prêt. C'est relativement courant et Amarenco est loin d'être une petite PME qui lutte pour sa survie
Pour les taux actuels sur la plateforme Lendopolis, disons que ce n'est pas la grande éclate
Les dossiers Technique solaire sur 60 mois à 5% franchement, NON ! J'ai vu passer récemment un dossier Engie sur une durée un poil plus courte à 6,5% sur une autre plateforme...
pour j'espère clore le débat, la proposition de Lendopolis est meilleure que ce que prévoit le contrat obligataire
section 2.6 : Dans le cas où une somme quelconque en principal, intérêts, frais ou accessoire serait due par l’Emetteur au titre
des Termes et Conditions des Obligations et ne serait pas payée à sa date d’exigibilité, l'Émetteur sera automatiquement tenu de payer, après notification, et mise en demeure, un intérêt de retard sur cette somme par
jour de retard écoulé, et ce, à compter de la date à laquelle elle est devenue exigible (exclue) et jusqu’à la date de
paiement effectif (inclus) au Taux d’Intérêt majoré de 1%
en effet, comme expliqué par Aurélien, le booster sera de 2% si l'extension est supérieure à 3 mois.
Bonjour,
Je ne vois pas en quoi cela clot le débat.
Les pénalités sont insuffisantes, que ce soit dans les contrats initiaux ou dans les propositions de prorogation laissées au "libre choix" des obligataires. Cela s'ajoute à une faible attractivité globale des rémunérations (à pondérer certes par un risque très maîtrisé, c'est le côté "bon père de famille" de la banque postale) et à une prépondérance des collectes réservées. Autant de points qui tendent à privilégier d'autres plateformes pour ma part.
oui, c'est sans doute sage en effet de ne pas continuer sur une plateforme qui propose mieux que l'engagement contractuel qui a été signé : le préjudice moral est insoutenable
Excellent,
Je suppose que ce n'est toujours pas une attaque personnelle mais Monsieur est tout de même un brin taquin...
Excellent, Je suppose que ce n’est toujours pas une attaque personnelle mais Monsieur est tout de même un brin taquin…
oui, je reconnais la taquinerie!
mais je vous trouve dur vis à vis de Lendopolis: j'aimerais que toutes les plateformes soient aussi carrées en particulier sur les extensions
Bonjour, Je ne vois pas en quoi cela clot le débat. Les pénalités sont insuffisantes, que ce soit dans les contrats initiaux ou dans les propositions de prorogation laissées au « libre choix » des obligataires. Cela s’ajoute à une faible attractivité globale des rémunérations (à pondérer certes par un risque très maîtrisé, c’est le côté « bon père de famille » de la banque postale) et à une prépondérance des collectes réservées. Autant de points qui tendent à privilégier d’autres plateformes pour ma part.
Cela ne clôt visiblement pas le débat mais cela devrait néanmoins vous conduire à plus de modération s'agissant d'un contrat d'émission que vous avez accepté, sans qu'il ne vous soit imposé par la masse des obligataires, prévoyant des pénalités en cas de retard inférieures à ce qui est proposé par avenant.
J'ai également voté en faveur des propositions.
J’ai voté oui de partout Le report n’est pas énorme et prendre 1 point voir 2 points de plus sur la durée « bonus », c’est ok pour moi Je comprends néanmoins l’avis de Barsa, Pelko, Serge et surement pas mal d’autres. Amarenco aurai très bien pu majorer le taux sur la durée totale du prêt. C’est relativement courant et Amarenco est loin d’être une petite PME qui lutte pour sa survie Pour les taux actuels sur la plateforme Lendopolis, disons que ce n’est pas la grande éclate Les dossiers Technique solaire sur 60 mois à 5% franchement, NON ! J’ai vu passer récemment un dossier Engie sur une durée un poil plus courte à 6,5% sur une autre plateforme…
Tux,
Quelques précisions :
- C'est bien parce que Amarenco n'est pas une petite PME qu'ils ne sont pas contraints d'obtenir un financement coût que coût. La prorogation est une solution de facilité dans le cas présent et la rémunération complémentaire dépassent les coûts qu'ils auraient dû assumer s'ils avaient opté pour une alternative de refinancement afin que les obligataires soient tentés de dire oui.
- J'en viens presque à regretter que les dossiers ENR ne connaissent pas plus de défauts. La granularité de qualité de signature ne peut plus être perçu car on considère tous les dossiers avec un risque faible. Le taux de rémunération attendu pour tous les dossiers tend donc vers le mieux disant. La collecte Technique Solaire n'est clairement pas la plus attractive pour des investisseurs à la recherche de risque et donc de rémunération. Néanmoins, il faut la mettre en parallèle du besoin de l'entreprise. Toujours un sujet d'offre et de demande. Dans le cas de Technique Solaire, la collecte peut être un échec, cela n'impactera pas leur capacité à se développer ou à construire leurs projets. Il n'y a donc aucune logique pour eux à offrir une rémunération plus élevé. Au final, nous avons collecté 3,45 m€ auprès d'investisseurs peut-être moins appétents pour un risque plus ou moins élevé.
- la collecte ENGIE à 6,5% est un exemple très particulier puisqu'elle portait sur un projet pour lequel il fallait absolument collecter localement. Vous noterez qu'ENGIE n'emprunte pas à ce taux sur les marchés financiers, ils ne font donc pas un cadeau pour le simple plaisir de faire du participatif. Au final, je constate que sur les 2 m€ recherchés, seulement 830 k€ ont été réunis malgré ce taux très attractif pour une telle signature.
Ce n'est pas très gentil de nous souhaiter des gamelles pour mettre en valeur votre gestion du risque !
Ca me rappelle la fameuse course aux clous de Michelin
https://www.7joursaclermont.fr/la-course-aux-clous-michelin-en-1892/