(Last Updated On: 16 mars 2022)
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Les particuliers sont en proie à des difficultés d’obtention d’emprunts immobiliers, et ce, malgré des taux historiquement bas.

 Les conditions d’obtention d’emprunt pour les particuliers sont plus exigeantes que jamais. En 2022, il sera quasi impossible d’obtenir un prêt immobilier sans un apport minimum de 10 %. La part d’apport personnel conseillée pour obtenir un crédit immobilier est désormais d’au moins 20 % du prix du bien souhaité. À titre d’exemple, en 2021, l’apport moyen des acquéreurs était de 30 000 euros, ce dernier ayant augmenté de 20 % par rapport à 2020.

 Ces difficultés à obtenir des emprunts représentent un risque pour les promoteurs immobiliers. Moins de clients finançables, donc moins de ventes…

 A contrario, la forte résilience du logement résidentiel durant la crise a remis cette classe d’actifs sur le devant de la scène aux yeux des institutionnels. Historiquement très actifs dans les années 1980, les institutionnels avaient délaissé le logement dans leur portefeuille durant les années 1990. Depuis 2020, l’appétit des institutionnels s’est aiguisé pour le résidentiel, du fait des inquiétudes liées au secteur tertiaire (bureaux, commerces, services…). On voit désormais des institutionnels (banques, assurances…) investir massivement dans des parcs immobiliers résidentiels neufs.

Investissement résidentiel en France par année

Source : immostat (https://www.immostat.com/informations)

En outre, le résidentiel devient ainsi une valeur refuge pour les acteurs institutionnels, avec notamment un élan vers les résidences étudiantes ou séniors et le coliving qui ont un taux de rendement très attractif en comparaison du résidentiel classique (entre 3,8 et 4,1 % selon la BNP Paribas).

 En 2020, le montant investi dans le résidentiel était de 6,87 milliards d’euros. Soit une croissance de 77 % par rapport à 2019. Cette tendance se confirme en 2021 avec un montant investi dans le résidentiel par les institutionnels de 7,63 milliards d’euros, soit une croissance de 11 % entre 2020 et 2021.

 Le marché résidentiel est en forte croissance, et pas seulement à l’échelle française. On observe ce phénomène dans toute l’Europe, où l’intérêt des institutionnels pour le résidentiel est croissant. CBRE estime que d’ici 2025 les montants investis dans le résidentiel pourraient atteindre 80 milliards d’euros, soit une hausse de 20 % sur 5 ans.

 Malgré les entraves aux particuliers pour accéder aux emprunts immobiliers, l’attrait des institutionnels envers le secteur résidentiel est une nouvelle opportunité qui s’offre aux promoteurs afin d’écouler rapidement leurs programmes immobiliers au travers de vente en bloc.

 Sans que les promoteurs puissent vendre 100 % de leur production à des institutionnels, ce « nouveau » canal de distribution leur permettra de récupérer plus rapidement leurs fonds propres et de renforcer leur situation financière.

 Chez Monego, l’investissement en immobilier reste accessible à partir de 1 000 euros et offre des rendements moyens entre 7 et 10 % par an.

 Monego a financé 113 projets pour 46 349 000 euros, remboursé 55 projets pour 19 426 euros, servi plus 2 206 293 euros d’intérêts à sa communauté d’investisseurs et affiche un taux de retard et de défaut toujours vierge, soit le meilleur track record du marché à volume comparable.

Retrouvez nos opportunités d’investissement sur www.monego.fr.

Yann Balthazard, CEO de MONEGO

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